mercredi 30 novembre 2011

Sakame64, mes hommages!

Mes excuses à Sakame64! Je ne t'avais pas reconnu et je pensais que tu étais un intrus!!!

Bye, Alphonse!

Nous sommes donc 5 d'inscrits, incluant Claude...

Il y a peu de membres de ce blogue...

Bonjour Claude et les autres!

Je te répondrai un jour sur le fond de ton précédent message à mon endroit...

Ce qui m'importe pour le moment, c'est de remarquer qu'il semble y avoir très peu de confrères qui accèdent à ce blogue puisque seulement Yvon Boudreault, Clément Martel et moi y sommes inscrits (il y a bien aussi une autre personne, mais je ne la connais pas).

Dois-je comprendre que ce qui s'écrit ici ne parvient pas aux autres?

Si c'est le cas, il faudrait peut-être rappeler aux autres qu'ils devraient devenir membres de ce blogue s'ils veulent y participer pleinement. Faut dire que la procédure pour devenir membre n'est pas des plus simples pour les moins familiers avec le net!

Je surveille les réactions et on en reparle!

Meilleures salutations!

André Tremblay

LETTRE A JACQUES COTE



«J'EN CONNAIS PLUSIEURS QUI NE MANQUERENT PAS D'AMIS, MAIS A QUI L'AMITIE A MANQUE.»  Sénéque


Salut mon vieux Jack,
Nous nous connaissons depuis 1949, n'est-ce pas?  Tu demeurais à quelques mètres de chez moi.  A côté de la ruelle.  Je me rappelle encore de ta chemise lors de notre «Petite Communion».  J'allais jouer chez toi, à l'étage.  Te souviens-tu de cet hiver où nous jouions au hockey sur la patinoire de monsieur Jean?  Rondelle en rondin de bouleau.  Une déviation.  Tu saignais à l'arcade sourcilière.  Je n'ai jamais oublié.  Nous avons tout fait ensemble, de la 1ère année à l'université.  Nous ne nous sommes jamais perdus de vue...
S


Raconte-nous!  Car tes quinze dernières années furent exceptionnelles, dignes de mention.  Tu as osé, et je t'admirerai toujours pour cela.  Dis-nous, parle-nous!  Pauline, aussi.  Tes deux gars.


La porte est ouverte, Jacques. 


Delhorno-Dufour



mardi 29 novembre 2011

GABRIEL DESBIENS


Bonjour à tous,
Je trouve que l'initiative prise a "ben du bon sens".
Je salue tous ceux qui se sont manifestés.
Je demeure toujours à Jonquière et je suis en retraite depuis bientôt 12 ans.
Nos trois enfants demeurent en dehors de la région: Trois-Rivières, Québec et St-Bruno de Montarville. Nous avons 4 petits-enfants.
La santé est bonne et nous nous allons gaiement, Ruth et moi, vers notre 42 ième anniversaire de mariage. 
Au plaisir d'une rencontre si possible,
Bye
Gabriel Desbiens

LETTRE A ANDRE TREMBLAY

Salut André,
Vois-tu, je ne t'ai jamais oublié.  Nous nous sommes perdus de vue peu après la rue Myrand.  Ce dont je me rappelle?  Que nous jouions de la flûte à bec dans l'orchestre de Guy Potvin.  Tu jouais la soprano, me trompai-je?  Je me rappelle aussi que tu étais posé, pas excité du tout.


J'aimerais que tu m'en dises plus sur toutes ces années que j'ai perdues.  Ce que tu as fait, tes bons coups, car tu as certainement scoré de gros buts, tes enfants, où sont-ils, ce qu'ils deviennent.  Luce doit être retraitée, maintenant.  Où vivez-vous, que faites-vous?  


Ce sont des questions qu'on ne peut poser qu'à un vieux confrère.  Tu n'es pas obligé de me répondre, tu sais.  Mais si ce blogue veut dire quelque chose, c'est l'avenue qu'il doit prendre.  Tu es le premier sur ma liste; les autres suivront.


Voilà.  Guy Potvin a vécu à Washington.  Je crois savoir qu'il subit à la maison des traitements de dialyse rénale.  Je vérifie tout ça et te reviens.  Non, je ne t'ai jamais oublié: chaque fois que j'allais à la Baie par le rang St-Jean-Baptiste, ton image me revenait!


Hasta pronto!
Delhorno-Dufour
   

lundi 28 novembre 2011

Yvon Boudreault


Quelle belle surprise en ce temps gris d'automne!

Je pense que c'est la façon la plus commode de se "rencontrer" d'autant plus qu'il n'y a pas à puiser dans nos fonds qui ont sûrement augmenté beaucoup en ces temps de croissance économique!

Petite anecdote: J'étais à Guatemala Cité, faisant partie d'un groupe de travailleurs bénévoles (Casira) allant régulièrement au Guatemala en aide internationale. Un soir avant le souper, jasant avec un individu d'Ottawa derrière une bière Gallo , quelle surprise ce fut de l'entendre dire: " Coudon, tu parles don'ben comme un gars de L'Anse-Saint-Jean, toi!" On sait que le monde est petit, mais l'accent de L'Anse-Saint-Jean détectable au Guatemala, quand même!

Heureux donc de trouver un coin à potins!

Salut à tous.

DONNER LE TON

Bonjour!
J'écris de Marysol, un petit complexe de onze condos construits il y a vingt ans par des Tremblay «Romaine» de Port-Alfred sur la partie nord de la République Dominicaine, entre Sosua et Cabarete.  J"y passe une partie de l'hiver depuis quelques années.
Plus de trente années à l'Hôtel-Dieu St-Vallier.  Semi-retraité,  je travaille à temps partiel à l'Hôpital de Campbellton au Nouveau-Brunswick.  Déménagé à Montréal depuis mai dernier, car mes enfants y sont.
Bonne santé relative et pas malheureux.
Nous avons avec ce blogue une belle occasion de nous regrouper après tant d'années.  J'ai oublié quelques noms, malheureusement, mais je n'ai oublié personne.  La vie est curieuse...


J'étais en compagnie de Denis Lebrun quand on nous examina à la faculté de Médecine de Laval.   Il m'avoua cette petite masse testiculaire qu'on lui conseilla de montrer à un urologue.  J'étais inconscient...  Nous faisions partie de l'équipe de piste et pelouse de Laval.  Il faisait le saut à la perche.  Je le perdis de vue à l'hiver de notre première année.  Denis serait vivant aujourd'hui.  On ne meurt plus de ça.


Guy Corriveau.  Je le rencontrai peu de temps avant qu'il ne décède.  Son optimisme m'avait frappé.
Laval Côté.  Lui aussi, je l'ai rencontré peu avant.
Guy Desbiens.  J'étais en train de pique-niquer à Bagotville un beau soir d'été.  Une pâleur morbide  qui m'étonna.  Je compris qu'il était gravement atteint.  Tristesse.
Mauril Blackburn.  Je fus son médecin.  Mauril n'a pas été chanceux.  Ne pas en écrire plus.
Eric Brisson.  J'étais là.  St-Camille, Hôtel-Dieu St-Vallier.  Pas chanceux lui non plus.
Bernard Tremblay.  Attendait une chirurgie, n'est-ce pas?
Roland Veilleux.  Je l'avais perdu de vue alors qu'il vivait à Arvida!  Décès fulminant, pour ainsi dire.  Je me souviens d'une conversation avec son fils au salon funéraire.


J'aimerais que nous nous y mettions, doucement, comme l'écrit Clément Martel, et que nous retrouvions la plupart sinon la totalité des manquants, histoire de savoir.  Il y a de belles histoires à raconter à propos de nos gars de 1963!


Mon adresse-courriel: cloduf44@me.com
Cellulaire montréalais: 514 795 3621
Téléphone domiciliaire: 514 419 1119
Cellulaire en RD: 809 605 3261


Adresse montréalaise: 301-4517 rue de l'Hôtel-de-Ville Montréal H2T 2A8


Buenos días y vaya con Dios!
Claude D.

CLEMENT MARTEL

Salut le monde,

Quelle est cette surprise que m'offre ma boîte de courrier! Super! Faut qu'on se voie. Ça fait assez longtemps. En s'y mettant, on doit pouvoir retrouver toutes les adresses.

Celui qui chantait dans la chorale à Arvida, c'était Guy Corriveau. À ma connaissance, parmi ceux qui ont rejoint l'orbite de l'absolu, il faut ajouter Denis Lebrun, Roland Veilleux et Guy Desbiens.

Clément Martel

AURELIEN BOIVIN

Le 27/11/11 19:34, « Aurélien Boivin » <Aurelien.Boivin@lit.ulaval.ca> a écrit :

Allo, vous tous,

Mais qu’est-ce que c’est!!! Heureux de vous retrouver tous. Je suis toujours en exercice à l’université, et je viens de publier le 8e tome du Dictionnaire des oeuvres littéraires.

Je suis d’accord pour que l’on se retrouve après toutes ces années.

Aurélien Boivin

ANDRE TREMBLAY


Bonsoir Claude!
J'ai essayé d'enregistrer un commentaire sur ton blogue, mais je n'ai pas eu de succès. Peux-tu me donner la procédure à suivre?
Merci!
André
"2e essai...
Bonjour Claude! Excellente initiative que ce blogue; j'espère que cela "lèvera". Je ne suis pas expérimenté dans ce type de communication...
Quelle orientation souhaites-tu donner à ce blogue? De quoi aimerais-tu qu'il soit question?
Meilleures salutations!
André Tremblay
"

JEAN-PIERRE COTE


Bonjour à tous!


Et ben ! Que vois-je ? Que lis-je ?
Claude Dufour et tous les autres. Pour une surprise, c'en est une grosse.
Je suis très heureux de cette prise de contact. Plusieurs d'entre vous le savent. Louise et moi demeurons maintenant à Brossard, petite ville de la banlieue de Longueuil, de l'agglomération de Montréal. Depuis juin 2010, nous nous sommes rapprochés de nos trois enfants et cinq petits-enfants demeurant à St-Lambert en ce qui concerne notre ainé, Longueuil quant à notre seule fille et sur le Plateau (près du Mont-Royal) quant à notre fils le plus jeune.
Nous sommes heureux de ce choix et menons une vie agréable. Quelques médicaments en ce qui me concerne mais tout va bien.
Content de vous retrouver. Je vous informe que j'ai encore en ma possession les dossiers du conventum. Comme André tremblay, sans doute.
Je souhaite que nous nous rencontrions et j,entends participer au blogue. Ce que je n'ai jamais fait auparavant. On verra bien.
Jean-Pierre Côté
7065-3 rue du Chardonneret
Brossard, J4Z 0A2
450 812 5728
438 838 3490 cell
Le 27 novembre 2011 17:04, Luce & André Tremblay <andrelucet@sympatico.ca> a écrit :

Bonjour Claude!
Voici quelques adresses de confrères qui étaient valides il y a une couple d'années (cc:).
Salutations!
André Tremblay
----- Original Message -----
Sent: Sunday, November 27, 2011 3:24 PM
Subject: SPES MESSIS IN SEMINE 1965

Salut!
Je tente un blogue qui concernerait SATELLITE HUMAIN DANS L'ORBITE DE L'ABSOLU.  Ne coûtera rien, nous avons plus de temps, personne n'est obligé.  Simple histoire de nous mettre à date avec notre passé.  J'ai perdu l'adresse-courriel d'Yvon Tremblay.  Je n'ai plus que celles-ci.  En ce qui me concerne, chacun de 1965 pourrait écrire dans ce blogue.  En voici l'adresse:cloduf66.blogspot.com

Vamos a ver!
Cl.



-- 
Jean-Pierre Côté
7065-3 rue du Chardonneret
Brossard, Qc
J4Z 0A2

450-812-5728 rés
438-838-3490 cell

jpcote44@gmail.com

dimanche 27 novembre 2011

CONFRERE DISPARU, PAR LUC LAPOINTE

Le nom du confrère disparu est Guy Corriveau

PRACTICO-PRATIQUEMENT...

Chacun d'entre nous peut écrire dans ce blogue communautaire dont je suis l'administrateur.  Il suffit d'accepter une invitation qui a déjà été envoyée et d'ouvrir un compte Blogger si on n'en a pas.  Google nous indique quoi faire.
L'autre façon de participer serait d'écrire un commentaire du lecteur, ce qui est ultra-facile.
André Tremblay vient de me demander:
-Comment vois-tu ce blogue?
-Comme un espace libre où chaque gars de 1963 peut écrire délibérément ce qu'il désire communiquer: où  il en est rendu, ses bons coups, ses meilleurs souvenirs, ses espoirs, ses regrets voire même ses maladies!  Poser des questions aussi, pourquoi pas?


J'ajouterai que je n'ai pas réfléchi beaucoup en choisissant d'écrire SPES MESSIS IN SEMINE 65 et SATELLITE HUMAIN DANS L'ORBITE DE L'ABSOLU.  S'il y a mieux, je me ferai un plaisir de biffer et remplacer.


Je me suis rendu compte un peu tardivement que j'avais oublié Guy Desbiens dans la liste de nos disparus.  Son décès m'a vraiment attristé, car je lui ai parlé sur le bord de la Baie, à Bagotville, peu de temps avant tout ne se termine.  J'ai aussi vécu de près les décès de Roland Veilleux, Eric Brisson et Mauril Blackburn.  


Voilà.
Claude Duvalier Dufour



REPRENDRE CONTACT

SATELLITE HUMAIN DANS L'ORBITE DE L'ABSOLU...



Difficile d'organiser des retrouvailles.  André Tremblay s'est essayé il y a deux ans à peine.  M'est venue l'idée d'un blogue où chacun pourrait peut-être...


Mes premières pensées vont à ceux d'entre nous qui ont rejoint l'orbite de l'absolu: Mauril Blackburn, Eric  Brisson,  celui d'Arvida qui chantait dans la chorale Ste-Cécile et dont j'ai oublié le nom, Bernard Tremblay, qui chantait aussi dans la même chorale. 


Pour ce qui touche la diffusion de ce blogue, nous pourrions procéder simplement, de la même manière que fonctionne le téléphone arabe.  J'ai déjà les courriels d'André Tremblay et de Jacques Côté.  Je commence par eux.  Le blogue s'intitule SPES MESSIS IN SEMINE 1965.  


J'ajoute ce paragraphe de Romain Gary lu récemment qui m'a fait penser à notre texte de 1963 sur l'ABSOLU.


CLAUDE DUFOUR
PRESIDENT A VIE  


 ROMAIN GARY
LA PROMESSE DE L‘AUBE
«Vague et lancinant , tyrannique et informulé, un rêve étrange s’était mis à bouger en moi, un rêve sans visage, sans contenu, sans contour, le premier frémissement de cette aspiration à quelque possession totale dont l’humanité a nourri aussi bien ses plus grands crimes que ses musées, ses poèmes et ses empires,  et dont la source est peut-être dans nos gènes comme un souvenir et une nostalgie biologique que l’éphémère conserve de la coulée éternelle du temps et de la vie dont il s’est détaché.  Ce fut ainsi que je fis connaissance avec l’absolu, dont je garderai sans doute jusqu’au bout , à l’âme, la morsure profonde, comme une absence de quelqu’un.  Je n’avais que neuf ans et je ne pouvais guère me douter que je venais de ressentir pour la première fois l’étreinte de ce que, plus de trente plus tard, je devais appeler «les racines du ciel», dans le roman qui porte ce titre.  L’absolu me signifiait soudain sa présence inaccessible et, déjà, à ma soif impérieuse, je ne savais quelle source offrir pour l’apaiser.  Ce fut sans doute ce jour-là que je suis né en tant qu’artiste; par ce suprême échec que l’art est toujours, l’homme, éternel tricheur de lui-même, essaye de faire passer pour une réponse ce qui est condamné à demeurer comme une tragique interpellation.  
...Le goût du chef-d’oeuvre venait de me visiter et ne devait jamais plus me quitter.