Parmi ceux que je n'oublie pas, il y a Laurent St-Cyr. Ceux qui font partie du groupe qui a commencé son classique à Chicoutimi en 1957 se rappelleront le second maître de salle, pas très grand, râblé, qui faisait, les premiers jours de la rentrée, son show au gymnase extérieur où il excellait notamment aux anneaux, un peu embarrassé de sa soutane. Les navaux étaient stupéfiés. Un bon gars, au demeurant, frais émoulu du Grand Séminaire, à l'époque.
Je lui ai parlé récemment au téléphone. Il a fait le plus clair de sa carrière à l'évêché de Chicoutimi. Aujourd'hui, il a plus de quatre-vingts ans et il affirme que ça paraît. Faudrait constater de visu. Il fait toujours du ministère auprès des sœurs du Saint-Sacrement (rue Saint-Sacrement, justement). Au téléphone, il a toujours l'air du jeune homme qu'il était à la fin des années 1950, jovial, toujours prêt à raconter quelque anecdote. Dès que je me suis nommé, il m'a reconnu: « Ah! oui, Saint-Nazaire! » Pas mal, sa mémoire!
En passant, on le voit sur la première photo du lac (le lac Pouce, de mon point de vue), juste devant Clément-Jacques Simard. Sur cette photo, monsieur Rosaire Nadeau était bien jeune et Hugues Tremblay n'était pas avantagé par sa position. Et je ne parle pas des autres. Heureusement, je ne m'y suis pas retrouvé.
Clément M.
lundi 12 décembre 2011
samedi 10 décembre 2011
JACQUES CÔTE
Jacques CÔTÉ
Biographie
Né à Chicoutimi, le 19 avril 1944, fils de Padoue Côté, hygiéniste au gouvernement provincial, et d'Annabelle Gravel, enseignante.
Obtint un baccalauréat ès arts en 1965 et une licence en droit en 1969 de l'Université Laval. Diplômé de l'Institut canadien des valeurs mobilières depuis 1982 et bachelier en science politique (relations internationales) de l'Université du Québec à Montréal depuis 1997.
Notaire et conseiller juridique depuis 1970.
Membre des conseils d'administration du Centre communautaire juridique du Saguenay_Lac-Saint-Jean de 1980 à 1983 et de l'Association des notaires du Saguenay_Lac-Saint-Jean en 1988 et en 1989. Membre de la Société de développement économique de Ville de La Baie depuis 1984, membre fondateur, de 1981 à 1983, et vice-président, de 1984 à 1985, du Club Lions de Ville de La Baie, président du conseil d'administration de la Caisse populaire Desjardins de la Grande-Baie de 1987 à 1992, membre du conseil d'administration et premier vice-président de la Chambre de commerce de Ville de La Baie de 1991 à 1994, président du comité de déontologie de la Fédération des caisses populaires du Saguenay_Lac-Saint-Jean en 1993 et en 1994.
Conseiller municipal et président du comité des finances à Ville de La Baie de 1974 à 1976. Exerça différentes fonctions au sein du Parti québécois de la circonscription de Dubuc : fut notamment conseiller juridique de 1973 à 1976 et de 1980 à 1985, trésorier de 1973 à 1980, vice-président en 1980 et président et membre de l'exécutif régional en 1997 et en 1998.
Élu député du Parti québécois dans Dubuc en 1998. Réélu en 2003 et en 2007. Adjoint parlementaire du ministre de la Justice du 5 décembre 2001 au 30 janvier 2002. Ministre délégué à l'Habitation dans le cabinet Landry du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003. Whip adjoint de l'opposition officielle du 9 septembre 2004 au 21 février 2007. Ne s'est pas représenté en 2008.
Date de mise à jour de la biographie : Mai 2009
DELHORNO-DUFOUR
DELHORNO-DUFOUR
vendredi 9 décembre 2011
NOTRE JEAN-GUY LEGENDRE
Jean-Guy et Renée Legendre blessés dans un accident de la route à Malte
Mme Legendre lutte pour sa vie
L’ancien maire de Carignan Jean-Guy Legendre et son épouse, l’ancienne mairesse Renée Legendre ont été impliqués le dimanche 17 juillet dans un accident de voiture qui s’est produit à Malte, une île située dans la mer méditerranée au sud de la Sicile et de l’Italie. M. Legendre a été blessé à un bras et une jambe mais sa femme Renée lutte pour sa survie et est toujours aux soins intensifs.
Selon des proches de la famille Legendre, le sac gonflable du côté passager ne se serait pas déployé ce qui aurait occasionné de graves blessures à Mme Legendre. Tous deux rendaient visite à leur fils. En raison de la gravité de l’accident, leur fille les a rejoints au courant de la semaine.
Delhorno-Dufour
Bonjour Claude,
Tel que convenu par téléphone voici l’article du Times of Malta où je fais la une. Comprends que je m’en serais bien passé dans les circonstances mais il fallait ce scoop pour faire pression sur la partie accusatrice afin de prévenir tout appel de leur part de la décision de la juge Grima. Je ne veux pas dire que c’est cela qui les a empêché car le jugement est très solide mais vu la saga judiciaire et la bataille qu’elle a menée nous nous attendions à ce qu’ils ne cèdent pas facilement.
Bien sûr c’est en anglais. Si cela pose problème fais-le moi savoir je verrai à écrire un texte explicatif en français.
Note : Renvoie-moi l’adresse du site internet où sera insérée l’article.
Je te suggère de mettre ce texte pour introduire l’article du journal :
« Après une saga judiciaire de plus de deux ans et demi (16 juillet 2011) j’ai enfin été acquitté complètement, hors de tout doute, d’une accusation d’homicide involontaire de mon épouse Renée Pelland lors d’un accident routier survenu à Malte le 16 juillet 2011. La décision de la juge Grima à savoir que je conduisais dans la bonne voie à une vitesse normale en ligne avec d’autres voitures a été prononcée le 25 mars 2014. Elle n’a pas fait l’objet d’un appel de la partie accusatrice à savoir le Procureur général de Malte et le responsable de l’accident Me Clayton James Fenech lequel est accusé formellement dès août 2011 dans une cause en parallèle à la mienne. Cette cause contre Me Fenech est toujours en cour devant un autre juge et devrait connaître son issue incessamment compte tenu de mon innocence reconnue en mars et devant les preuves très claires tels les témoins directs de l’accident qui nous ont percutés par l’arrière et du rapport de l’expert en site d’accident routier qui corrobore scientifiquement les faits entourant l’accident et les témoignages de ces derniers.
Nous intentons une poursuite en cour civile dans un regroupement de parties intéressées (SAAQ – Société de l’Assurance Automobile du Québec; Compagnie d’assurance Gasan Mamo; et moi-même) pour récupérer le plus possible les séquelles dues à l’accident, les sommes dépensées suite à près de 15 voyages Québec – Paris - Malte et les dommages et intérêts provoqués.
Je vous joins un article en anglais du Times of Malta daté du 26 mars 2014 faisant la une pour informer de mon acquittement.
Cordialement,
Jean-Guy Legendre
Wednesday, March 26, 2014, 00:01 by
Waylon Johnston
Court clears husband over wife death crash
Wife died few weeks after she’d ‘recovered’
A Canadian man can put “the worst day of his life” behind him after he was yesterday acquitted of being responsible for a car crash which caused his wife’s death in 2011.
After more than two-and-a-half years and some 15 flights between Malta and Quebec to attend sittings, Jean Guy Legendre breathed a huge sigh of relief as he walked out of the courtroom yesterday shortly after being cleared.
Shaking the hand of his lawyer Stefano Filletti, Mr Legendre, 69, immediately phoned his son in Paris to tell him the good news.
Magistrate Edwina Grima...
jeudi 8 décembre 2011
JAMAIS OUBLIES...
CLEMENT-JACQUES SIMARD
Nous enseigna le grec en Belles-Lettres. Adorait le vieux grec, l'histoire de la Grèce, ses philosophes et ses littérateurs. Un gars qui donnait la chance au coureur. Je l'ai apprécié autrement et davantage par après. Il faisait du ski de fond au Bec-Scie, à la Baie. S'est occupé des archives au Petit Séminaire. Là où je l'ai mieux connu, c'est quand il fut mon patient. Est décédé subitement, dans sa chambre de la Résidence des Prêtres, en face de l'école Laure-Conan.
JACQUES TREMBLAY
Professeur de littérature en Rhéto. Beaucoup d'entre nous lui devons ce que nous savons de la littérature française et québécoise. Ai pensé à lui devant la maison de Molière à Paris. Plus tard, retraité, il a commencé à écrire ce qui ressemblait à des Mémoires, qu'il imprimait à compte d'auteur. Mon voisin, presque, il passait devant chez moi et me laissait le dernier cahier paru, ce que je considérais comme un honneur et un privilège. Je l'ai vu peu après à l'hôpital, peu avant qu'il ne décède.
JEAN-PAUL TREMBLAY «MÉDÉRIC»
Vous rappelez-vous de «Jean Barois»? Du livre communautaire qu'il nous fit écrire et que j'ai perdu?
-Il faudra vous placer, disait-il.
C'était un gars du Cap-aux-Corbeaux, à Baie St-Paul. Il disait que Charlevoix était un pays hautement métaphysique. Décédé à Québec. Service funéraire à Baie St-Paul. Une myriade des ses anciens étudiants, les Equipiers de St-Michel, entre autres, vinrent lui rendre hommage.
ROCH PEDNAULT
Tonton Molécule... Evêque «helpeur» du diocèse. Venait à l'hôpital presque tous les soirs, très souvent en tout cas, voir des malades. C'est là que je le rencontrais. On aurait dit que les dieux l'ont oublié, car il ne vieillissait pas. Un autre bon gars.
Nous ne serons jamais que les arrières-neveux de ceux qui nous ont laissé grimper sur leurs épaules...
Delhorno-Dufour
Nous enseigna le grec en Belles-Lettres. Adorait le vieux grec, l'histoire de la Grèce, ses philosophes et ses littérateurs. Un gars qui donnait la chance au coureur. Je l'ai apprécié autrement et davantage par après. Il faisait du ski de fond au Bec-Scie, à la Baie. S'est occupé des archives au Petit Séminaire. Là où je l'ai mieux connu, c'est quand il fut mon patient. Est décédé subitement, dans sa chambre de la Résidence des Prêtres, en face de l'école Laure-Conan.
JACQUES TREMBLAY
Professeur de littérature en Rhéto. Beaucoup d'entre nous lui devons ce que nous savons de la littérature française et québécoise. Ai pensé à lui devant la maison de Molière à Paris. Plus tard, retraité, il a commencé à écrire ce qui ressemblait à des Mémoires, qu'il imprimait à compte d'auteur. Mon voisin, presque, il passait devant chez moi et me laissait le dernier cahier paru, ce que je considérais comme un honneur et un privilège. Je l'ai vu peu après à l'hôpital, peu avant qu'il ne décède.
JEAN-PAUL TREMBLAY «MÉDÉRIC»
Vous rappelez-vous de «Jean Barois»? Du livre communautaire qu'il nous fit écrire et que j'ai perdu?
-Il faudra vous placer, disait-il.
C'était un gars du Cap-aux-Corbeaux, à Baie St-Paul. Il disait que Charlevoix était un pays hautement métaphysique. Décédé à Québec. Service funéraire à Baie St-Paul. Une myriade des ses anciens étudiants, les Equipiers de St-Michel, entre autres, vinrent lui rendre hommage.
ROCH PEDNAULT
Tonton Molécule... Evêque «helpeur» du diocèse. Venait à l'hôpital presque tous les soirs, très souvent en tout cas, voir des malades. C'est là que je le rencontrais. On aurait dit que les dieux l'ont oublié, car il ne vieillissait pas. Un autre bon gars.
Nous ne serons jamais que les arrières-neveux de ceux qui nous ont laissé grimper sur leurs épaules...
Delhorno-Dufour
mercredi 7 décembre 2011
A PROPOS DE GUY POTVIN...
J'en viens maintenant à l'objet plus spécifique de ton message, des nouvelles de Guy Potvin. Après avoir quitté le Séminaire de Chicoutimi (1966) pour ses études doctorales à Washington (lettres et humanités), il a ensuite été invité à joindre le Fond Monétaire International où il a mené une brillante carrière, occupant des postes de direction dans les secteurs de traduction et interprétation des textes (section francophone). Entretemps, il a demandé et obtenu sa laïcisation, sans perdre ses convictions et ses engagements chrétiens qui l'ont aussi conduit vers les milieux associatifs, surtout à titre d'éducateur, ce qu'il est "par essence". Il est aujourd'hui retraité depuis un certain nombre d'années puisqu'il a déjà fêté ses quatre-vingts ans. La lecture, l'écriture et la musique (même passée à la sauce électronique) occupent ses loisirs.
Cher Claude, j'espère que ces quelques "touches impressionnistes" seront utiles et suffisantes pour rappeler l'image et le bon souvenir "actualisé" de Guy Potvin. Tu auras bien compris que je ne suis pas entré volontairement dans les détails, surtout au plan de sa santé devenue précaire au terme de quasi dix ans de dialyse. Tu es bien placé pour en connaître les contraintes. Par ailleurs, je te demanderais de taire la source de ces informations.
Cher Claude, j'espère que ces quelques "touches impressionnistes" seront utiles et suffisantes pour rappeler l'image et le bon souvenir "actualisé" de Guy Potvin. Tu auras bien compris que je ne suis pas entré volontairement dans les détails, surtout au plan de sa santé devenue précaire au terme de quasi dix ans de dialyse. Tu es bien placé pour en connaître les contraintes. Par ailleurs, je te demanderais de taire la source de ces informations.
lundi 5 décembre 2011
dimanche 4 décembre 2011
samedi 3 décembre 2011
MON PERE S'APPELAIT ROLAND
Salut. Me voilà bien embarqué dansle train de notre blog. Mon adresse gmail est grard.blanger@gmail.com, par défaut, car google à refusé mes deux “é”s. Ça faitoriginal quand même. J'ai mis GR pour Gérard-Réné, initiales demes deux prénoms de baptême. (Non, mon parrain n'était pas le pèred'Yvon qui s'appelait Réné Boudreault). J'ai pensé m'identifierpour ceux qui auraient oublié qui j'étais en ce temps-là, surtoutpour les externes. Vous ne pourriez pas me reconnaître aujourd'hui. Je suis celui qui: -avait cogné l'oeil droit de MichelDufour, notre prof de math sur la patinoire; - était allé fairedes entrevues sur l'amour chez les filles du Bon-Pasteur avec GillesSimard et Roland Veilleux en nous présentant comme journalistes. LaSupérieure, qui nous avait ouvert grand la porte, a appris par lasuite qui nous étions. Elle a demandé à J.P. Laliberté de nousrenvoyer du séminaire, ce qu'il a refusé de faire en invoquant quenous étions des élèves modèles. Il nous avait disputés quandmême, pour la forme, car il avait trouvé cela bien drôle; - après un bon coup avec Aurélien (tu te souviens Aurélien? ne dis pasnon!) le lendemain d'un jour de fin d'examens, de retourau séminaire on avait montél'escalier à 4 pattes jusqu'au dortoir pour aller se coucher à 5heures de l'après-midi. Les radars (pères-maîtres) nous avaientdétectés mais n'avaient rien dit; - dernier indice, je faisaispartie des 5 braves qui avaient gagé de devenir Pères Blancsd'Afrique. Nous avons tous perdus notre gageure et nos petites amiesde coeur, (Jean-Guy, Yvon qui n'aimait pas nettoyer les toilettes auNoviciat, Richard qui trouvait trop dur d'arrêter de fumer et notreregretté Bernard). Après mes études en théologie, j'ai quandmême eu la chance de travailler en brousse au Burkina Fasso avec le SUCO pour deuxans comme animateur agricole et creusage de puits. Expérienceinoubliable. Ça suffit pour aujourd'hui. Je vous ai raconté mesbons coups, la prochaine fois les mauvais. J'attends les vôtres.
En passant, je suis marié avec une Indonésienne de Java (depuis38 ans déjà), nous avons deux enfantset cinq petits-enfants dont nous sommes très fiers.
vendredi 2 décembre 2011
MARCEL TREMBLAY
Salut à tous!
Je viens d'ajouter Marcel à notre liste. Marcel est l'auteur d'un livre qu'il a eu la délicatesse de me faire parvenir il y a quelques années. J'aurais dû te remercier davantage, Marcel. Je me reprends donc.
SVP, donne-nous de tes nouvelles.
Claude Dufour
Je viens d'ajouter Marcel à notre liste. Marcel est l'auteur d'un livre qu'il a eu la délicatesse de me faire parvenir il y a quelques années. J'aurais dû te remercier davantage, Marcel. Je me reprends donc.
SVP, donne-nous de tes nouvelles.
Claude Dufour
jeudi 1 décembre 2011
CECI EST UN BLOG COLLECTIF
BONJOUR, je vous invite à lire cette page qui répond exactement à la question d'André Tremblay. J'ai invité tous les noms que j'avais à devenir membres. Chaque participant doit se créer un compte Blogger. Je ne puis faire ça pour vous. L'autre façon de procéder pourrait être de m'envoyer un courriel à mon adresse personnelle. De là, je pourrais aisément transférer le texte dans notre blogue. La première option est évidemment celle que je privilégie, ayant affaire à de grands garçons...
Cl.
Plusieurs personnes peuvent-elles publier des messages dans un même blog ?
Absolument. Il s'agit alors d'un "blog collectif". Ce type de blog est bien utile lorsqu'un petit groupe de personnes souhaite participer à un même blog. Il suffit que l'un des membres du groupe crée le blog, puis invite les autres membres à participer à la publication.
Les membres de l'équipe de publication peuvent être des administrateurs ou de simples utilisateurs. Les administrateurs peuvent modifier tous les messages (et non les leurs uniquement), ajouter ou supprimer des membres (et leur octroyer les droits d'administrateur) et modifier les propriétés du blog. Les simples utilisateurs peuvent uniquement publier des messages dans le blog.Pour inviter d'autres personnes à participer à un blog, procédez comme suit :
Accédez à la page Paramètres | Autorisations :
et cliquez sur Ajouter des auteurs :
Saisissez ensuite les adresses e-mail des personnes que vous souhaitez inviter à participer au blog. Celles-ci recevront un courrier de confirmation peu de temps après. Notez que chaque participant doit posséder un compte Blogger. Si ce n'est pas le cas, le participant est invité à en créer un.
Lorsque vous êtes prêt à envoyer les invitations, cliquez sur Inviter. Vous recevrez un courrier électronique lorsque chaque nouveau membre aura rejoint le blog.
Articles connexes :
mise à jour 10/11/2010
VENANT DE GERARD BELANGER
Bonjour Claude.
Bravo pour l'initiative, espérons que plusieurs vont y participer.
Nous ne nous sommes pas revus depuis ces années de séminaire (mon meilleur souvenir étant celui des olympiades régionales) mais Jules m'a parlé de toi à l'occasion. Il m'avait dit que tu étais allé "le chercher loin" lors d'une opération urgente.
Comme j'ai roulé ma bosse à l'étranger pendant plusieurs années à cause de mon travail, et mon pied-à-terre étant Ottawa, j'ai perdu contact avec les confrères sauf quelques-uns. Ce blog me permettra de ramener à ma mémoire des noms, des visages, et des souvenirs des belles années de collège.
Hier soir, j'ai ouvert le site du blog à partir de ton invitation. J'ai lu les messages existants et dû sortir sans avoir pris le temps de m'inscrire, pensant que je pourrais le faire une prochaine fois. Quand j'ai voulu y revenir, un message m'a dit que je devais recevoir à nouveau l'invitation de l'administrateur.
Un peu "cogno" n'est-ce pas? J'aurais dû y penser.
Dans l'attente de ton nouveau message.
Hasta luego.
Gérard
Inscription à :
Articles (Atom)