mercredi 25 juillet 2012


Curriculum Vitae

Marcel LaforteBacc. ès Génie électrique
Université Laval, Ste-Foy QC (1972)
Saint-Nicolas (Lévis),Bacc. ès Arts
Séminaire de Chicoutimi (1965)
679 rue Chabanel, Chicoutimi

Professeur au département de TGE (1972-2006)
Spécialités
  • Électrodynamique:  machines électriques,  commandes de machines,  démarreur,  classe des moteurs et production transport et distribution d'énergie électrique
  • Instrumentation et contrôle:  installation pneumatique,  puissance des vérins,  logique pneumatique et méthodes de solution des automatismes.
  • Électronique ordinateur:  périphériques et gros ordinateurs,  conception en électronique analogique et numérique (Microcontrôleur, PIC 16F84A)
Pendant plus de 5 ans, via les services de l'éducation aux adultes du collège de Chicoutimi,  j'ai été sous contrat avec Alcan [ Usine de Fluorure puis usine Vaudreuil du complexe Jonquière (à Ville Saguenay)].  Affecté à l'écriture de manuels de procédé et de procédures d'opération au projet d'empilage de la boue (Bopile) j'ai été responsable de la coordination du projet DHR (décanteur à haut rendement) du procédé Bayer.
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Intervention industrielle (1984-1990)
  • Stages d'observation et de formation en milieu industriel;
  • Participation au projet de l’usine de fluorure (animation du procédé);
  • Écriture de manuels pour l'implantation du gaz naturel aux alumines commerciales et au Centre Énergétique Vaudreuil:
    • conversion au gaz naturel de fours rotatifs («kill») et de chaudières au mazout;  (bunker #6)
    • stratégie de contrôle de fours industriels et des chaudières;
  • Empilage de la boue, station de préparation de floculant;
  • Étude du procédé,  formation des opérateurs,  étude de la stratégie de contrôle et de commande, respect de l'environnement;
  • Décanteur à Haut Rendement (DHR),  écriture de manuels de procédé et de formation pour des groupes d’opération et d’entretien;
  • Mise en place d'une équipe de rédacteurs et d'un centre de formation (rue De La Salle) DHR. Coordination du groupe de formation;
Retour à l'enseignement (1990-2006)
  • Formation en instrumentation et contrôle, éléments de contrôle, contrôleur programmable et instrumentation d'analyse;
  • Responsable des stages industriels des finissants (rémunérés et non rémunérés);
  • Écriture et supervision d’écriture de manuels de procédé pour l’industrie;
Associations professionnelles
  • (1973-83) Membre actif de l'O.T.P.Q. [Corporation des techniciens professionnels du Québec et Ordre des Technologues du Québec];
  • (1974- 2010) Membre de l'O.I.Q.
  • (1980-82) Membre du premier bureau de l'OTPQ;
  • (1991- 2010) Ingénieur sénior;
  • (1988-90) Membre de l'ISA [Instrumentation Society of America];
  • (1996-98) membre de l'AQPC [Association Québécoise de la Pédagogie Collégiale];


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dimanche 17 juin 2012

AURÉLIEN


QUÉBEC - Les artisans du Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec devront continuer à faire aussi bien avec infiniment moins d’argent.
Le chef d’orchestre de ce dictionnaire, le Chicoutimien d’origine Aurélien Boivin, est professeur de littérature à l’Université Laval.
Et ce, parce que le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, un organisme fédéral qui relève du ministère de l’Industrie, a considérablement réduit sa subvention: 75 000 $ au lieu de 200 000 $.
Le chef d’orchestre de ce dictionnaire, le Chicoutimien d’origine Aurélien Boivin, professeur de littérature à l’Université Laval, en fut si découragé qu’il a été sur le point de jeter la serviette : « Heureusement, nous avons obtenu un peu d’aide d’autres organismes universitaires et nous pourrons continuer à travailler à la préparation du neuvième tome.»
La rédaction de ce dictionnaire est une oeuvre de longue haleine initiée en 1971 par un professeur de l’Université Laval, Maurice Lemire. À l’époque, il avait constitué une équipe de recherche, dont Aurélien Boivin faisait partie, afin d’établir de manière exhaustive le corpus de la littérature québécoise.
À l’origine, ce dictionnaire devait compter quatre volumes. Bien vite, il est apparu que publier quatre volumes serait insuffisant.
Ce projet de dictionnaire a tellement plu à Hubert Aquin, directeur des Éditions La Presse, qu’il offrit de le publier. Une mésentente entre Roger Lemelin, le grand patron de La Presse en ce temps-là, et Hubert Aquin entraîna la démission de ce dernier et l’abandon du projet.
Les Presses de l’Université Laval prétendant ne pas avoir les reins assez solides pour s’impliquer dans une entreprise d’une telle envergure, c’est le directeur littéraire de Fides, Clément Saint-Germain, qui proposa de publier le Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec.
Depuis, huit tomes ont été publiés par Fides et un neuvième est en préparation.
Imprimé à 500 exemplaires, le huitième tome du Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec se présente sous la forme d’un ouvrage de 1150 pages passant en revue les années 1986 à 1990.
Sous la direction d’Aurélien Boivin, la rédaction de ce huitième tome a nécessité quatre années de travail et la collaboration de 320 rédacteurs d’articles. Rédacteurs recrutés parmi des professeurs d’université d’ici et de l’étranger, des professeurs du collégial, des chercheurs et des étudiants. Sans oublier le recours aux services de nombreux bibliothécaires.
Au total, ce livre propose plus de 800 articles analysant 1200 ouvrages. En fin de volume, une bibliographie comptant plus de 6500 entrées.
Les 1200 ouvrages analysés ont été classés en quatre catégories: romans et nouvelles au nombre de 350, poésies et chansons elles aussi au nombre de 350. À cela il faut ajouter 125 pièces de théâtre et 250 essais.
Les essais ont été choisis au cas par cas et traitent de littérature, de culture, de politique et de sociologie.
Selon Aurélien Boivin, ces essais témoignent de l’évolution du Québec contemporain : « On pouvait difficilement passer à côté des livres de Léon Dion ou de Gérard Bergeron.»

dimanche 1 janvier 2012